Dimanche 30 octobre

Horaire des messes du 30/31 octobre dans le doyenné 

Horaires de la Toussaint 

Le Saint du jour

Le Jour du Seigneur

e Jour du Seigneur part en Nouvelle-Calédonie pour une émission spéciale en direct de Nouméa. Une occasion de revenir sur la question de l’indépendance de l’île. Plus de 30 ans après le début du processus d’émancipation, comment la jeunesse calédonienne envisage-elle l’avenir ? La messe sera célébrée à l’église de l’Espérance de Nouméa, en Nouvelle-Calédonie.

• 10h30 Magazine « En Nouvelle-Calédonie, se tourner vers l’avenir »

Le 12 décembre 2021, les Calédoniens étaient appelés à se prononcer pour la troisième fois sur la question de l'indépendance ou du maintien dans la République française de la Nouvelle-Calédonie. Un processus long de plus de 34 ans de dialogue, auquel ont participé le comité des Sages, des Calédoniens en charge de veiller sur les propos et les débats dès les premières consultations d’autodétermination. Suite au dernier référendum, une période de transition s’est ouverte afin d’examiner la situation et définir un projet. Dans ce contexte, l’émission s’intéressera particulièrement à la jeunesse calédonienne. Comment envisage-t-elle son avenir sur Le Caillou ? Ce dernier scrutin l’a-t-elle impactée ? Pour en parler, David Milliat s’entretiendra avec Nisié Filitoga, diacre et membre du Comité des Sages.

• 11h00 Messe

Célébrée en direct de l’église de l’Espérance de Nouméa, en Nouvelle-Calédonie

L’église de l’Espérance de Nouméa est ornée d’un magnifique vitrail, dessiné et entièrement fabriqué localement. Il illustre parfaitement l’une des Béatitudes choisie par le donateur de l’œuvre : « Heureux les artisans de paix, ils seront appelés fils de Dieu » (Mt 5, 9)

Président et prédicateur : P. Roch Apikaoua, vicaire général

• 11h50 Parole inattendue

Aurèle Marthan, pianiste, sera l’invité du jour.

Synode : la voix des «exclus» dans le document de la phase continentale

La Secrétairerie Générale du Synode des Évêques rend public la synthèse initiale qui lance l'étape continentale, succédant à la phase diocésaine. Ce document a été constitué entre septembre 2022 et cette fin de mois d'octobre par un groupe d'experts à partir des différentes synthèses nationales. Pour étayer les points importants et les conclusions établies, les synthèses de 112 Conférences épiscopales qui ont permis la constitution de ce document sont abondamment citées. Ce document présente les retours sur l’expérience du processus synodale, la synthèse de la phase diocésaine, détaille la méthodologie employée et précise les prochaines étapes du Synode.

Belgique : un laïc nommé secrétaire général de la Conférence épiscopale

«Le sacerdoce n’est pas une vie de confort», dit le Pape

Jolie messe ?

Une sortie de première communion.

-« Quelle jolie messe ! » s’exclame Germaine. « Quand on entend ces chants et ces voix, on se sent porté par la foi de ces gens ! » ajoute Philippe.

- « Tu es sûr qu’ils expriment une foi en Jésus, le Christ !» fait remarquer Jean- Pierre dubitatif. « Oui, la cérémonie était belle, on écrira même dans la gazette paroissiale qu’elle était « rehaussée » par la chorale,  "animée" par les enfants du catéchisme et dirigée de main de maître par le curé. Oui, belle cérémonie, insiste-t-il, mais as-tu prié ? »

-« Pourquoi ? Il fallait prier en plus ! »

-« Toute liturgie est une action collective qui exige des règles et un décorum censé traduire le mystère divin. Elle utilise des cantiques, des acclamations, des rites symboliques, des ornements qui touchent la sensibilité, le sens de la beauté, ou de la grandeur.

Mais la première question que l’on devrait se poser lorsqu’on célèbre une messe (et c’est un comble pour Celui qui en est l’Unique célébrant) est la suivante: « Est-ce que Jésus pourrait y participer ?

Que dirait-il à la sortie de l’église ?

Bénirait-il notre prière comme il l’a fait pour celle du publicain ou prendrait-il le fouet pour renverser tous les artifices accumulés au fil des siècles qui obscurcissent davantage qu’ils n’éclairent ?

Rappellerait-il, comme il le fit avec la samaritaine, que le vrai culte se célèbre « en esprit et en vérité » ?  

Qui anime la messe ?

Qui lui donne une âme (anima) si ce n’est Lui !

Qui a l’outrecuidance de croire qu’il peut « rehausser » la présence du Christ parmi nous ?

Combien de liturgies célébrées à « l’occasion de … »  comme si l’Eucharistie ne se suffisait pas à elle-même, comme si elle avait besoin de « l’occasion » d’un concert d’orgue pour exprimer sa plénitude !

« L’Eucharistie, source et sommet de la vie chrétienne » répète-t-on à satiété après le concile Vatican II. Sauf lorsqu’elle qu’elle devient le théâtre dérisoire de nos options religieuses ou politiques, la tribune d’une communication à peine déguisée ou le tremplin d’une vaine satisfaction personnelle.

Qu’est-ce qui importe ? La mise en scène ou la cène ? L’impuissant effort de nos traductions humaines ou l’infinie profondeur du don d’une vie, de la Vie  dans la simplicité d’un repas d’à-Dieu partagé ?

La cuisine des monastères

Un moine ou une religieuse nous présente une recette depuis la cuisine de son monastère. Des plats familiaux accordés aux saisons et même au temps liturgique. L’occasion de parler aussi de la relation à la nourriture, et du sens donné à sa préparation ...

Le puzzle de la Parole du jour : Luc (19, 1-10) 

Cinéma chrétien

La vidéo du jour