Pas à pas vers Dimanche 16 octobre

Suite à l’article publié sur La Croix (mercredi 12 octobre) et sur le quotidien Sud-Ouest, (ce vendredi 14 octobre 2022), à propos de l’Alliance des Cœurs unis, Mgr Marc Aillet communique, en direction des diocésains :

• Article paru dans La Croix du mercredi 12 octobre 2022

Le Saint du jour

Ma prière quotidienne 

Jubilé 2025 : le Pape créé une Commission pour les témoins de la foi

Mardi 11 octobre : Messe pour les 60 ans du Concile Vatican II

Vatican II, l’enseignement d’une Église qui se donne

L’Église de Marseille, pionnière en pastorale de la Méditerranée

Phase continentale du synode

Le Synode sur la synodalité entre dans une nouvelle phase. Après la remontée de la documentation de la préparation synodale aux niveaux diocésain et national, un nouveau document, continental, est en cours d’élaboration.

Malaise chez les prêtres diocésains ? sans langue de buis

Le bruit de fond grandit en France. Les derniers mois ont été rudes pour l'Eglise, si on écoute les prêtres diocésains, avec le rapport de la CIASE sur les abus sexuels, les scandales qui ont affecté des prêtres et la gouvernance de diocèses, une participation nationale mitigée au synode avec des synthèses qui souvent ne les ménagent pas. Sans compter sur les inlassables débats qui remettent en cause le célibat. D'autres font état de relations tendues avec leurs communautés, leurs évêques... et des conditions difficiles de la mission. Autour de Mgr Matthieu Rougé, évêque de Nanterre, nos invités partagent difficultés et joies, pour ne pas perdre la beauté et le sens de la vocation du prêtre diocésain.

Lundi 10 octobre : Foi et Culture

Mardi 11 octobre : Rentrée des catéchistes

Mercredi 12 octobre à 19h en l'église st Pierre, avenue Schuman à Pau, réunion d'information sur les JMJ 64.

Réunion d'information sur les JMJ 64 "Lisbonne 2023" pour tous les jeunes, animateurs et parents du Béarn mercredi 12 octobre 19h-20h , église st Pierre, avenue Schuman, Pau..

J'invite chacun(e) à transmettre cette information à tel ou tel jeune de votre entourage, susceptible d'être intéressé, et né avant le 31/12/2006.

• Page spéciale JMJ 64 : 

Jeudi 13 octobre

Samedi 15 octobre : Pèlerinage des époux et pères de famille

Samedi 15 octobre : Rencontre fraternelle autour de l'Adoration perpétuelle

L’Adoration Perpétuelle organise un important temps spirituel, ouvert à tous, sur la Miséricorde selon le message de Paray-le-Monial le samedi 15 octobre de 8h30 à 12h30 à l'église Ste-Thérèse de Pau, 79 av Trespoey.

 Temps de prière, de louange et d'adoration animés par les groupes du Renouveau charismatique de Pau. Enseignements du P. Martin Pradère (cté de l'Emmanuel). Messe et pique-nique. Fin 14h.

Contact : 06 07 39 67 23 / courriel : adorationperpetuelle.pau@gmail.com

• 15/16 octobre : Formation spirituelle week-end 15 et 16 octobre par Coteaux Pais

Dimanche 16 octobre : Journée inter-Eglises

A l'occasion du dimanche des missions, le service de la mission universelle du diocèse propose une journée "inter-Eglises" à Monein, dimanche 16 octobre, sur le thème : « Vous serez mes témoins ».

9h30 : accueil, café

10h30 : messe à l'église Saint-Girons présidée par M. l’abbé François Bisch, vicaire général.

11h30 : verre de l’amitié offert par la paroisse dans la salle paroissiale et pique-nique

14h : débat dans la salle paroissiale : face à la perte de la foi en général, quels dynamismes voyez-vous dans vos communautés des jeunes Eglises ?

Retour sur la rentrée paroissiale St Ambroise en la Vallée Heureuse

Retour sur la conférence de Michel Garat : Pourquoi tant de violence dans la bible ?

Missionnaires et desservants

Quel dommage d’avoir déposé le mot « desservant »  dans le cercueil d’une langue morte !

Il se disait d’un prêtre chargé du service d’une paroisse. Il se glissait encore sous la plume de Daudet et sur les lèvres de Don Camillo. Il magnifiait le verbe « servir » sans le compromettre par le voisinage plus prestigieux du curé ou du doyen qui lui aurait fait oublier son modeste rang.

Un congrès de la mission s’est tenu récemment à Paris. Le qualificatif « missionnaire » s’emploie souvent pour désigner des équipes de croyants convaincus, souvent jeunes, qui abordent les gens dans la rue, sur les plages, au cours des festivités, en les interrogeant sur leurs croyances et en leur présentant Jésus comme notre sauveur. La surprise peut se traduire par un sourire étonné devant la fraîche spontanéité de ces jeunes ou par un refus courroucé face à ce qui peut paraître une intrusion sans précaution dans la conscience de chacun.

La méthode est celle de l’interpellation. Elle est adaptée à notre temps qui voit grossir de plus en plus la masse de celles et ceux qui sont les orphelins de toute tradition religieuse ou les rejetons de l’athéisme officiel du 20ème siècle.

En revanche, les « post chrétiens », qui ont encore quelques relents d’un catéchisme mal digéré, accueillent ces nouveaux missionnaires avec un regard soupçonneux. Cette méthode importée des grandes métropoles cosmopolites mériterait une fine connaissance des mentalités locales.

L’interpellation directe, forcément rapide, court également le risque de présenter le croyant comme un individu bardé de certitudes pratiquant un prosélytisme sans retenue. Or, on « n’a » pas la foi  comme un paquet de convictions acquises une fois pour toutes et que l’on ne remet jamais en question.

Etre croyant ou essayer de l’être est une autre histoire car c’est effectivement l’histoire d’une longue fréquentation de Dieu et d’un combat intérieur à l’image de celui de Jacob avec l’ange.

Missionnaires et desservants, si les deux se donnaient la main ! Des missionnaires respectueux de leurs interlocuteurs sont indispensables car « comment croire si personne ne parle ?» rappelle St Paul. Il faut ensuite des desservants qui nourrissent et maintiennent vivante la Foi en essayant de ne pas trop la « desservir » dans le sens négatif du terme. La formule « disciples-missionnaires » voudrait y parvenir.

Jean Casanave

Le coin lecture de Marie Odile

La cuisine des monastères

Un moine ou une religieuse nous présente une recette depuis la cuisine de son monastère. Des plats familiaux accordés aux saisons et même au temps liturgique. L’occasion de parler aussi de la relation à la nourriture, et du sens donné à sa préparation ...

Le puzzle de la semaine :

Lundi - Luc (11, 29-32) 

Mardi  : Luc (11, 37-41)

Mercredi - Luc (11, 42-46) 

Jeudi - Luc (11, 47-54) 

Vendredi – Luc (12, 1-7)

Samedi - Luc (12, 8-12) 

Cinéma chrétien

 La vidéo de la semaine : Alléluia à notre Dieu

• Alléluia à notre Dieu : le clip

• Histoire du projet

Avec ce chant, Jean-Luc Sergent, pasteur anglican invite les chrétiens francophones à travers le monde à louer Dieu dans l’unité.

Il rappelle que « l’unité est au cœur de l’identité de notre Dieu puisqu’Il est trinité : Père, Fils et Saint-Esprit. Et l’unité, c’est ce que Dieu veut pour l’humanité entière. C’est le projet de Dieu de réunir toute la création sous le règne de Jésus. C’est ce que Jésus a prié : ‘Que tous soient un, afin que le monde croie' (Jean 17 : 20-26). »

Ainsi, les artistes chrétiens qui ont travaillé sur ce projet viennent chacun représenter, non pas leurs ministères, mais leurs églises, afin d’incarner cette idée de réunir le peuple de Dieu dans l’adoration.

Là où il y a l’unité centrée sur Jésus, coule la bénédiction

« Alléluia, à notre Dieu » est un chant original d’inspiration biblique, accompagné d’un clip vidéo tourné à la basilique du Sacré Coeur de Montmartre et à l’église de La Trinité à Paris.

Ce chant a été pensé comme un acte d’adoration extravagant, à l’image du geste de la femme qui répand du parfum précieux sur la tête de Jésus (Marc 14:3-9).

Composer un hymne qui pourra être repris par toutes les églises francophones

Pour écrire « Alléluia, à notre Dieu », Pauline Betuel, Sébastien Corn, Dan Luiten et Samuel Olivier se sont inspirés de la lecture des chapitres 4 et 5 du Livre de l’Apocalypse dans la Bible. Ce passage dépeint un tableau magnifique de toute l’Église, le peuple de Dieu, réunie autour du trône et de l’Agneau. Une image forte que les compositeurs ont essayé de retranscrire dans le chant.

« ‘Alléluia’, c’est un mot que n’importe quelle confession chrétienne peut chanter au nom de Dieu, note Pauline Betuel, on voulait composer un chant que n’importe qui pourrait reprendre, un chant fédérateur. On espère que ce chant pourra résonner et rayonner sur toute la Francophonie, dans le monde entier, et rendre gloire à notre Dieu. »